Partie 1/2

« Il était pas du tout mon style de mec. Parce que moi j’aime bien les personnes qui sont un peu enveloppées, quand c’est une plus grande surface à caresses quoi ! Et mon mari, lui, c’était plutôt du style 1m80 pour 60 kg. Et j’aime bien les poils, et lui avait 3 poils sur la poitrine que je devais lui arracher quand on partait en vacances (rires) !

On était très amoureux. Je lui racontais tout, il me racontait tout. On a toujours beaucoup, beaucoup parlé. On faisait que ça en fait. Toute notre vie, les 23 ans qu’on a passés ensemble, on a parlé tout le temps ! Il m’a demandé plusieurs fois de l’épouser et j’ai toujours refusé. Et après 10 ans de vie commune, j’ai dit oui. Il était tellement habitué à ce que je dise non, qu’il s’est pas rendu compte que j’avais dit oui. Trois jours après, on parlait d’une amie qui se mariait et il me dit : « De toute façon si nous un jour on se marie… » et puis il me regarde et il dit : « T’as pas dit non avant-hier ! Donc t’es d’accord ?? » Il était fou de joie, mais il lui aura fallu 3 jours ! Je lui ai dit qu’il était un peu tartuffe quand même…

Lui était à l’AI [Assurance-Invalidité] depuis ses 23 ans. Il a d’abord eu un cancer à 20 ans, le lymphome de Hodgkin. Ils ont réussi à le sauver. Puis ils ont découvert qu’il avait un problème avec les os des mains. Il suffisait qu’il s’appuie sur un mur et l’os cassait. Des fois il perdait connaissance de douleur. La première année que j’ai passée avec lui, sur 12 mois il a eu 13 opérations. Ils lui ont fait des dénervations, résections du semi-lunaire, etc. C’était de la folie. Après plusieurs années de différents essais, ils ont greffé une partie de la hanche et là ça a été nickel. Puis, en 2008, il a refait le même cancer, cette fois au stade 4. Mais ils ont réussi à le sauver de nouveau !

Il voulait pas que je subisse ses problèmes de santé. J’ai dit : « Toi t’as des problèmes de santé, mais moi aussi. » Moi ça se voyait pas encore à l’époque, j’avais pas encore les premières crises. On savait pas quand ça allait venir… »

(Parc Beaulieu)

Partie 2/2

« Ma mère avait la maladie de Steinert, et à 22 ans j’ai appris que je l’avais aussi. J’avais 35 ans lors de la première crise. J’étais au travail, à midi j’ai voulu me lever de mon siège et j’ai pas réussi. J’ai paniqué complètement. Après une crise j’ai le corps qui se paralyse et j’ai plus de mobilité. La seule chose qui fonctionne encore c’est la tête. On se retrouve comme un bébé. Il faut réapprendre à marcher, à se mouvoir, et ça prend plusieurs mois. Et à chaque fois y’a des muscles en plus qui meurent. La première année j’ai eu 6 crises, je crois.

Quand j’ai dû arrêter de travailler, je suis pas sortie de chez moi pendant une année. J’étais malheureuse, je servais plus à rien. Plein de gens me parlaient plus parce que j’étais en fauteuil, comme si c’était contagieux. Puis mes amis n’arrêtaient pas de me dire de bouger, de voir du monde, donc j’ai commencé à venir dans ce parc. Les gens ici m’ont toujours vue en chaise donc ils n’ont pas eu peur. Depuis, je me suis fait plein d’amis, et tout l’été je suis ici. Je pose ma couverture par terre, c’est nickel.

Mon mari, lui il a brûlé la vie par les deux bouts. Il fumait et il buvait beaucoup. Oh… ! Il a tout fait pour tomber malade ! Ces dernières années il avait, on sait pas pourquoi, de l’ascite dans les jambes et dans le ventre. Il arrivait plus à marcher, plus à manger. Je lui avais demandé plusieurs fois s’il fallait que je l’aide à mourir. Et puis il me disait : « Mais non ! Ça va aller ! ». D’un côté je me dis heureusement que c’est moi qui reste, parce que moi je continue à vivre. Lui se serait laissé aller.

Mais j’ai une vie magnifique. J’ai été mariée 12 ans. J’ai été heureuse. J’ai toujours la pêche, je suis contente de vivre ! Je peux faire plein de choses ! Bon, j’ai pas pu partir en vacances cette année, sinon je serais pas là. Le voyage c’est TOUT. Lui il aimait la chaleur, donc on a fait beaucoup d’îles. Le prochain voyage que j’aimerais faire c’est la Guadeloupe ! Moi c’est Jacqueline d’ailleurs, mais tout le monde m’appelle Jack. La plaque à l’arrière c’est mon mari qui me l’a offerte, parce qu’il disait : « T’es toujours en vadrouille, donc Jack Transport International Routier ! »

(Parc Beaulieu)

*Cliquez sur les flêches bleues de la photo principale pour voir la deuxième photo.

Partie 1/2

« Il était pas du tout mon style de mec. Parce que moi j’aime bien les personnes qui sont un peu enveloppées, quand c’est une plus grande surface à caresses quoi ! Et mon mari, lui, c’était plutôt du style 1m80 pour 60 kg. Et j’aime bien les poils, et lui avait 3 poils sur la poitrine que je devais lui arracher quand on partait en vacances (rires) !

On était très amoureux. Je lui racontais tout, il me racontait tout. On a toujours beaucoup, beaucoup parlé. On faisait que ça en fait. Toute notre vie, les 23 ans qu’on a passés ensemble, on a parlé tout le temps ! Il m’a demandé plusieurs fois de l’épouser et j’ai toujours refusé. Et après 10 ans de vie commune, j’ai dit oui. Il était tellement habitué à ce que je dise non, qu’il s’est pas rendu compte que j’avais dit oui. Trois jours après, on parlait d’une amie qui se mariait et il me dit : « De toute façon si nous un jour on se marie… » et puis il me regarde et il dit : « T’as pas dit non avant-hier ! Donc t’es d’accord ?? » Il était fou de joie, mais il lui aura fallu 3 jours ! Je lui ai dit qu’il était un peu tartuffe quand même…

Lui était à l’AI [Assurance-Invalidité] depuis ses 23 ans. Il a d’abord eu un cancer à 20 ans, le lymphome de Hodgkin. Ils ont réussi à le sauver. Puis ils ont découvert qu’il avait un problème avec les os des mains. Il suffisait qu’il s’appuie sur un mur et l’os cassait. Des fois il perdait connaissance de douleur. La première année que j’ai passée avec lui, sur 12 mois il a eu 13 opérations. Ils lui ont fait des dénervations, résections du semi-lunaire, etc. C’était de la folie. Après plusieurs années de différents essais, ils ont greffé une partie de la hanche et là ça a été nickel. Puis, en 2008, il a refait le même cancer, cette fois au stade 4. Mais ils ont réussi à le sauver de nouveau !

Il voulait pas que je subisse ses problèmes de santé. J’ai dit : « Toi t’as des problèmes de santé, mais moi aussi. » Moi ça se voyait pas encore à l’époque, j’avais pas encore les premières crises. On savait pas quand ça allait venir… »

(Parc Beaulieu)

Partie 2/2

« Ma mère avait la maladie de Steinert, et à 22 ans j’ai appris que je l’avais aussi. J’avais 35 ans lors de la première crise. J’étais au travail, à midi j’ai voulu me lever de mon siège et j’ai pas réussi. J’ai paniqué complètement. Après une crise j’ai le corps qui se paralyse et j’ai plus de mobilité. La seule chose qui fonctionne encore c’est la tête. On se retrouve comme un bébé. Il faut réapprendre à marcher, à se mouvoir, et ça prend plusieurs mois. Et à chaque fois y’a des muscles en plus qui meurent. La première année j’ai eu 6 crises, je crois.

Quand j’ai dû arrêter de travailler, je suis pas sortie de chez moi pendant une année. J’étais malheureuse, je servais plus à rien. Plein de gens me parlaient plus parce que j’étais en fauteuil, comme si c’était contagieux. Puis mes amis n’arrêtaient pas de me dire de bouger, de voir du monde, donc j’ai commencé à venir dans ce parc. Les gens ici m’ont toujours vue en chaise donc ils n’ont pas eu peur. Depuis, je me suis fait plein d’amis, et tout l’été je suis ici. Je pose ma couverture par terre, c’est nickel.

Mon mari, lui il a brûlé la vie par les deux bouts. Il fumait et il buvait beaucoup. Oh… ! Il a tout fait pour tomber malade ! Ces dernières années il avait, on sait pas pourquoi, de l’ascite dans les jambes et dans le ventre. Il arrivait plus à marcher, plus à manger. Je lui avais demandé plusieurs fois s’il fallait que je l’aide à mourir. Et puis il me disait : « Mais non ! Ça va aller ! ». D’un côté je me dis heureusement que c’est moi qui reste, parce que moi je continue à vivre. Lui se serait laissé aller.

Mais j’ai une vie magnifique. J’ai été mariée 12 ans. J’ai été heureuse. J’ai toujours la pêche, je suis contente de vivre ! Je peux faire plein de choses ! Bon, j’ai pas pu partir en vacances cette année, sinon je serais pas là. Le voyage c’est TOUT. Lui il aimait la chaleur, donc on a fait beaucoup d’îles. Le prochain voyage que j’aimerais faire c’est la Guadeloupe ! Moi c’est Jacqueline d’ailleurs, mais tout le monde m’appelle Jack. La plaque à l’arrière c’est mon mari qui me l’a offerte, parce qu’il disait : « T’es toujours en vadrouille, donc Jack Transport International Routier ! »

(Parc Beaulieu)

*Cliquez sur les flêches bleues de la photo principale pour voir la deuxième photo.

Publié le: 10 mai 2021

Partagez sur :

Partie 1/2

« Il était pas du tout mon style de mec. Parce que moi j’aime bien les personnes qui sont un peu enveloppées, quand c’est une plus grande surface à caresses quoi ! Et mon mari, lui, c’était plutôt du style 1m80 pour 60 kg. Et j’aime bien les poils, et lui avait 3 poils sur la poitrine que je devais lui arracher quand on partait en vacances (rires) !

On était très amoureux. Je lui racontais tout, il me racontait tout. On a toujours beaucoup, beaucoup parlé. On faisait que ça en fait. Toute notre vie, les 23 ans qu’on a passés ensemble, on a parlé tout le temps ! Il m’a demandé plusieurs fois de l’épouser et j’ai toujours refusé. Et après 10 ans de vie commune, j’ai dit oui. Il était tellement habitué à ce que je dise non, qu’il s’est pas rendu compte que j’avais dit oui. Trois jours après, on parlait d’une amie qui se mariait et il me dit : « De toute façon si nous un jour on se marie… » et puis il me regarde et il dit : « T’as pas dit non avant-hier ! Donc t’es d’accord ?? » Il était fou de joie, mais il lui aura fallu 3 jours ! Je lui ai dit qu’il était un peu tartuffe quand même…

Lui était à l’AI [Assurance-Invalidité] depuis ses 23 ans. Il a d’abord eu un cancer à 20 ans, le lymphome de Hodgkin. Ils ont réussi à le sauver. Puis ils ont découvert qu’il avait un problème avec les os des mains. Il suffisait qu’il s’appuie sur un mur et l’os cassait. Des fois il perdait connaissance de douleur. La première année que j’ai passée avec lui, sur 12 mois il a eu 13 opérations. Ils lui ont fait des dénervations, résections du semi-lunaire, etc. C’était de la folie. Après plusieurs années de différents essais, ils ont greffé une partie de la hanche et là ça a été nickel. Puis, en 2008, il a refait le même cancer, cette fois au stade 4. Mais ils ont réussi à le sauver de nouveau !

Il voulait pas que je subisse ses problèmes de santé. J’ai dit : « Toi t’as des problèmes de santé, mais moi aussi. » Moi ça se voyait pas encore à l’époque, j’avais pas encore les premières crises. On savait pas quand ça allait venir… »

(Parc Beaulieu)

Partie 2/2

« Ma mère avait la maladie de Steinert, et à 22 ans j’ai appris que je l’avais aussi. J’avais 35 ans lors de la première crise. J’étais au travail, à midi j’ai voulu me lever de mon siège et j’ai pas réussi. J’ai paniqué complètement. Après une crise j’ai le corps qui se paralyse et j’ai plus de mobilité. La seule chose qui fonctionne encore c’est la tête. On se retrouve comme un bébé. Il faut réapprendre à marcher, à se mouvoir, et ça prend plusieurs mois. Et à chaque fois y’a des muscles en plus qui meurent. La première année j’ai eu 6 crises, je crois.

Quand j’ai dû arrêter de travailler, je suis pas sortie de chez moi pendant une année. J’étais malheureuse, je servais plus à rien. Plein de gens me parlaient plus parce que j’étais en fauteuil, comme si c’était contagieux. Puis mes amis n’arrêtaient pas de me dire de bouger, de voir du monde, donc j’ai commencé à venir dans ce parc. Les gens ici m’ont toujours vue en chaise donc ils n’ont pas eu peur. Depuis, je me suis fait plein d’amis, et tout l’été je suis ici. Je pose ma couverture par terre, c’est nickel.

Mon mari, lui il a brûlé la vie par les deux bouts. Il fumait et il buvait beaucoup. Oh… ! Il a tout fait pour tomber malade ! Ces dernières années il avait, on sait pas pourquoi, de l’ascite dans les jambes et dans le ventre. Il arrivait plus à marcher, plus à manger. Je lui avais demandé plusieurs fois s’il fallait que je l’aide à mourir. Et puis il me disait : « Mais non ! Ça va aller ! ». D’un côté je me dis heureusement que c’est moi qui reste, parce que moi je continue à vivre. Lui se serait laissé aller.

Mais j’ai une vie magnifique. J’ai été mariée 12 ans. J’ai été heureuse. J’ai toujours la pêche, je suis contente de vivre ! Je peux faire plein de choses ! Bon, j’ai pas pu partir en vacances cette année, sinon je serais pas là. Le voyage c’est TOUT. Lui il aimait la chaleur, donc on a fait beaucoup d’îles. Le prochain voyage que j’aimerais faire c’est la Guadeloupe ! Moi c’est Jacqueline d’ailleurs, mais tout le monde m’appelle Jack. La plaque à l’arrière c’est mon mari qui me l’a offerte, parce qu’il disait : « T’es toujours en vadrouille, donc Jack Transport International Routier ! »

(Parc Beaulieu)

*Cliquez sur les flêches bleues de la photo principale pour voir la deuxième photo.

Partie 1/2

« Il était pas du tout mon style de mec. Parce que moi j’aime bien les personnes qui sont un peu enveloppées, quand c’est une plus grande surface à caresses quoi ! Et mon mari, lui, c’était plutôt du style 1m80 pour 60 kg. Et j’aime bien les poils, et lui avait 3 poils sur la poitrine que je devais lui arracher quand on partait en vacances (rires) !

On était très amoureux. Je lui racontais tout, il me racontait tout. On a toujours beaucoup, beaucoup parlé. On faisait que ça en fait. Toute notre vie, les 23 ans qu’on a passés ensemble, on a parlé tout le temps ! Il m’a demandé plusieurs fois de l’épouser et j’ai toujours refusé. Et après 10 ans de vie commune, j’ai dit oui. Il était tellement habitué à ce que je dise non, qu’il s’est pas rendu compte que j’avais dit oui. Trois jours après, on parlait d’une amie qui se mariait et il me dit : « De toute façon si nous un jour on se marie… » et puis il me regarde et il dit : « T’as pas dit non avant-hier ! Donc t’es d’accord ?? » Il était fou de joie, mais il lui aura fallu 3 jours ! Je lui ai dit qu’il était un peu tartuffe quand même…

Lui était à l’AI [Assurance-Invalidité] depuis ses 23 ans. Il a d’abord eu un cancer à 20 ans, le lymphome de Hodgkin. Ils ont réussi à le sauver. Puis ils ont découvert qu’il avait un problème avec les os des mains. Il suffisait qu’il s’appuie sur un mur et l’os cassait. Des fois il perdait connaissance de douleur. La première année que j’ai passée avec lui, sur 12 mois il a eu 13 opérations. Ils lui ont fait des dénervations, résections du semi-lunaire, etc. C’était de la folie. Après plusieurs années de différents essais, ils ont greffé une partie de la hanche et là ça a été nickel. Puis, en 2008, il a refait le même cancer, cette fois au stade 4. Mais ils ont réussi à le sauver de nouveau !

Il voulait pas que je subisse ses problèmes de santé. J’ai dit : « Toi t’as des problèmes de santé, mais moi aussi. » Moi ça se voyait pas encore à l’époque, j’avais pas encore les premières crises. On savait pas quand ça allait venir… »

(Parc Beaulieu)

Partie 2/2

« Ma mère avait la maladie de Steinert, et à 22 ans j’ai appris que je l’avais aussi. J’avais 35 ans lors de la première crise. J’étais au travail, à midi j’ai voulu me lever de mon siège et j’ai pas réussi. J’ai paniqué complètement. Après une crise j’ai le corps qui se paralyse et j’ai plus de mobilité. La seule chose qui fonctionne encore c’est la tête. On se retrouve comme un bébé. Il faut réapprendre à marcher, à se mouvoir, et ça prend plusieurs mois. Et à chaque fois y’a des muscles en plus qui meurent. La première année j’ai eu 6 crises, je crois.

Quand j’ai dû arrêter de travailler, je suis pas sortie de chez moi pendant une année. J’étais malheureuse, je servais plus à rien. Plein de gens me parlaient plus parce que j’étais en fauteuil, comme si c’était contagieux. Puis mes amis n’arrêtaient pas de me dire de bouger, de voir du monde, donc j’ai commencé à venir dans ce parc. Les gens ici m’ont toujours vue en chaise donc ils n’ont pas eu peur. Depuis, je me suis fait plein d’amis, et tout l’été je suis ici. Je pose ma couverture par terre, c’est nickel.

Mon mari, lui il a brûlé la vie par les deux bouts. Il fumait et il buvait beaucoup. Oh… ! Il a tout fait pour tomber malade ! Ces dernières années il avait, on sait pas pourquoi, de l’ascite dans les jambes et dans le ventre. Il arrivait plus à marcher, plus à manger. Je lui avais demandé plusieurs fois s’il fallait que je l’aide à mourir. Et puis il me disait : « Mais non ! Ça va aller ! ». D’un côté je me dis heureusement que c’est moi qui reste, parce que moi je continue à vivre. Lui se serait laissé aller.

Mais j’ai une vie magnifique. J’ai été mariée 12 ans. J’ai été heureuse. J’ai toujours la pêche, je suis contente de vivre ! Je peux faire plein de choses ! Bon, j’ai pas pu partir en vacances cette année, sinon je serais pas là. Le voyage c’est TOUT. Lui il aimait la chaleur, donc on a fait beaucoup d’îles. Le prochain voyage que j’aimerais faire c’est la Guadeloupe ! Moi c’est Jacqueline d’ailleurs, mais tout le monde m’appelle Jack. La plaque à l’arrière c’est mon mari qui me l’a offerte, parce qu’il disait : « T’es toujours en vadrouille, donc Jack Transport International Routier ! »

(Parc Beaulieu)

*Cliquez sur les flêches bleues de la photo principale pour voir la deuxième photo.

Publié le: 10 mai 2021

Partagez sur :