« Toutes mes histoires sérieuses ont été avec des motards. Pourtant c’est pas mon critère de sélection, mais c’est juste que ça a toujours été fait comme ça. Je viens d’une grande famille de motards. Mon père travaillait dans les écuries des circuits pour MotoGP. Du coup, depuis que je suis pitchoune je suis sur les champs de course. Ça a un peu rythmé tous les weekends de mon enfance.

Avoir une passion commune, c’est ça qui est agréable. Quand on bricole sur les motos on se marre bien, on partage ce qu’on sait, les bêtises qu’on a faites ou des trucs comme ça. Puis après, aller faire un tour ensemble… c’est tellement agréable. T’as l’impression d’être en meute et de pouvoir tout faire ! Les gens souvent comprennent pas : « Mais pourquoi tu prends ta moto pour aller nulle part ? » Mais en fait, c’est pour la prendre que je vais partout. C’est là où je suis tranquille, c’est la liberté complètement. Je peux partir où je veux, j’ai aucune contrainte.

Un soir on rigolait avec des amies et j’ai dit : « Moi je vais rencontrer quelqu’un, je suis sûre que ça sera un motard également, et qu’il aura la Z1000 ! » On plaisantait en disant des bêtises comme ça. Et puis le lendemain je rencontre le fameux monsieur à un déjeuner, et il était arrivé en Z1000 ! C’était un truc de fou (rires) ! Dès que je l’ai présenté à mon père, c’est la première question qui est arrivée : « Est-ce qu’il est pour les deux roues ? » C’était assez cash ! J’étais là : « Oui ! Oui ! » (rires). On s’est dit qu’en fait le monde est tout petit, on a des exigences, et le fait des fois d’attendre elles se réalisent toutes seules ! »

(Place de la Madeleine)

Publié le: 26 avril 2021

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« Toutes mes histoires sérieuses ont été avec des motards. Pourtant c’est pas mon critère de sélection, mais c’est juste que ça a toujours été fait comme ça. Je viens d’une grande famille de motards. Mon père travaillait dans les écuries des circuits pour MotoGP. Du coup, depuis que je suis pitchoune je suis sur les champs de course. Ça a un peu rythmé tous les weekends de mon enfance.

Avoir une passion commune, c’est ça qui est agréable. Quand on bricole sur les motos on se marre bien, on partage ce qu’on sait, les bêtises qu’on a faites ou des trucs comme ça. Puis après, aller faire un tour ensemble… c’est tellement agréable. T’as l’impression d’être en meute et de pouvoir tout faire ! Les gens souvent comprennent pas : « Mais pourquoi tu prends ta moto pour aller nulle part ? » Mais en fait, c’est pour la prendre que je vais partout. C’est là où je suis tranquille, c’est la liberté complètement. Je peux partir où je veux, j’ai aucune contrainte.

Un soir on rigolait avec des amies et j’ai dit : « Moi je vais rencontrer quelqu’un, je suis sûre que ça sera un motard également, et qu’il aura la Z1000 ! » On plaisantait en disant des bêtises comme ça. Et puis le lendemain je rencontre le fameux monsieur à un déjeuner, et il était arrivé en Z1000 ! C’était un truc de fou (rires) ! Dès que je l’ai présenté à mon père, c’est la première question qui est arrivée : « Est-ce qu’il est pour les deux roues ? » C’était assez cash ! J’étais là : « Oui ! Oui ! » (rires). On s’est dit qu’en fait le monde est tout petit, on a des exigences, et le fait des fois d’attendre elles se réalisent toutes seules ! »

(Place de la Madeleine)

Publié le: 26 avril 2021

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