« L’industrie de la mode est une industrie très spéciale dans laquelle j’ai grandi, que j’aime et que je respecte. Tout est beau, tu es entourée de choses magnifiques. C’est très attirant, très esthétique. Peut-être que j’ai pas le cran pour supporter les choses laides (rires) ! Et c’est pas aussi superficiel que les gens le pensent. On doit tous s’habiller des pieds à la tête. Et ça donne un emploi à des millions de personnes. Tu vois ce que j’veux dire ? C’est un business sérieux !
J’ai une entreprise de fausse fourrure. C’est à dire que tout est produit chez un vrai fourreur à Paris, tout semble vrai, mais c’est du faux ! Personne ne faisait de la belle fausse fourrure, et personne ne veut plus porter de la vraie fourrure, alors j’ai lancé ce business ! Je n’ai qu’une saison d’hiver, c’est ça le problème. Honnêtement, je me la coule douce pendant le printemps et l’été. Puis après, je donne tout ce que j’ai, et à la fin mars je suis un zombie.
Le plus dur c’est le manque de sommeil. J’ai des enfants qui viennent dans notre lit tous les soirs, parfois trois ou quatre fois. C’est assez agité pendant la nuit. Donc ça c’est le plus dur, arriver à jongler entre les enfants et le business. On n’est pas des superwomen (rires) ! Il faut que je loue un studio et que j’y déménage, et que je laisse mon mari avec eux (rires) ! Non, tout va bien, je vais pas me plaindre. J’ai un mari cool, des enfants en bonne santé, et un bon business ! »
(Rive | traduit de l’anglais)
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« L’industrie de la mode est une industrie très spéciale dans laquelle j’ai grandi, que j’aime et que je respecte. Tout est beau, tu es entourée de choses magnifiques. C’est très attirant, très esthétique. Peut-être que j’ai pas le cran pour supporter les choses laides (rires) ! Et c’est pas aussi superficiel que les gens le pensent. On doit tous s’habiller des pieds à la tête. Et ça donne un emploi à des millions de personnes. Tu vois ce que j’veux dire ? C’est un business sérieux !
J’ai une entreprise de fausse fourrure. C’est à dire que tout est produit chez un vrai fourreur à Paris, tout semble vrai, mais c’est du faux ! Personne ne faisait de la belle fausse fourrure, et personne ne veut plus porter de la vraie fourrure, alors j’ai lancé ce business ! Je n’ai qu’une saison d’hiver, c’est ça le problème. Honnêtement, je me la coule douce pendant le printemps et l’été. Puis après, je donne tout ce que j’ai, et à la fin mars je suis un zombie.
Le plus dur c’est le manque de sommeil. J’ai des enfants qui viennent dans notre lit tous les soirs, parfois trois ou quatre fois. C’est assez agité pendant la nuit. Donc ça c’est le plus dur, arriver à jongler entre les enfants et le business. On n’est pas des superwomen (rires) ! Il faut que je loue un studio et que j’y déménage, et que je laisse mon mari avec eux (rires) ! Non, tout va bien, je vais pas me plaindre. J’ai un mari cool, des enfants en bonne santé, et un bon business ! »
(Rive | traduit de l’anglais)
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